Avoir du nez ! Intérêt de l’olfaction dans l’évaluation et la prise en charge des troubles cognitifs et comportementaux dans les pathologies neuropsychiatriques - 14/11/15
Résumé |
Les déficits de l’olfaction sont de plus en plus mis en évidence dans les pathologies psychiatriques (troubles bipolaires) comme dans les pathologies neurologiques et dégénératives (maladie de Parkinson, maladie d’Alzheimer). Ils peuvent constituer un marqueur de vulnérabilité et de dépistage précoce pour certaines de ces pathologies, mais ils peuvent aussi constituer une alternative prometteuse dans la prise en charge non pharmacologique de certaines perturbations émotionnelles et comportementales (anxiété, dépression, troubles du sommeil…), ainsi que de certains déficits cognitifs et mnésiques dans le spectre des pathologies neuropsychiatriques. L’objectif de ce symposium est tout d’abord de présenter les bases neurobiologiques de l’olfaction et de ses déficits, puis d’aborder l’intérêt du dépistage précoce des déficits de l’olfaction dans les pathologies neuropsychiatriques ainsi que les modalités thérapeutiques de la stimulation sensorielle olfactive en lien avec le développement des nouvelles technologies de l’information et de la communication.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Mots clés : Olfaction, Troubles cognitifs, Troubles du comportement, Pathologies neurodégénératives, Pathologies psychiatriques.
Plan
Vol 30 - N° 8S
P. S31 - novembre 2015 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
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